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20 octobre 2016 4 20 /10 /octobre /2016 07:33

Elections dans les TPE. Votez pour la CGT !

Elections TPE 2016
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19 octobre 2016 3 19 /10 /octobre /2016 08:12
UD CGT 93 - samedi 5 novembre à 19H à Saint-Denis
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18 octobre 2016 2 18 /10 /octobre /2016 09:48
Fiscalité - Retenue à la source
Fiscalité - Retenue à la source
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17 octobre 2016 1 17 /10 /octobre /2016 09:21

Un autre article de TRIPALIO à propos de l'Alliance et de PRO BTP.

ALLIANCE PRO CRÉÉE "AVANT LA FIN DE L'ANNÉE"

Par Mickaël Ciccotelli

05/10/2016

Après maints rebondissements, le feuilleton de la création d'Alliance Pro toucherait à sa fin. D'après nos informations, qui émanent du conseil d'administration de Pro-BTP, le regroupement professionnel devrait voir le jour "avant la fin de l'année".   

Annoncée aussi souvent sur le point d'aboutir que sur le point de mourir, Alliance Pro serait en réalité "plus que jamais sur les rails". Au sein de Pro-BTP, qui porte plus ou moins explicitement le projet, "seule la CGT est réticente à la création de cette Alliance Pro", estimant ne pas avoir "obtenu de réponse vis-à-vis de ses interrogations". Mis à part ce désaccord, le regroupement bénéficie d'une nette majorité au conseil d'administration.  

Les autres institutions qui participent activement aux discussions : "Lourmel, B2V et Audiens", ont "déjà voté à l'unanimité" leur intégration à l'Alliance. "Il y avait peut-être des doutes du côté de certains administrateurs mais les décisions ont été prises à l'unanimité malgré tout" précise notre source. A l'image de ce qui devrait se passer à Pro-BTP ? En ce qui concerne Agrica, c'est toujours "l'incertitude" la plus totale. A ce stade d'avancement des négociations, ceci n'est pas très bon signe... Nos lecteurs ne s'en étonneront d'ailleurs guère.  

Quoiqu'il en soit du choix d'Agrica, l'assemblée générale constitutive d'Alliance Pro est prévue "avant la fin de l'année". Les semaines qui viennent nous diront si cette annonce est finalement la dernière avant la mise en oeuvre effective du regroupement.  

En attendant, BI&T vous proposera d'ici peu une présentation du fonctionnement singulier des relations sociales au sein de Pro-BTP. Parce qu'on ne prend pas la tête d'un projet comme Alliance Pro si l'on n'est pas assuré de ses arrières, la direction du groupe du BTP sait qu'elle peut compter, en interne, sur des syndicats pour le moins compréhensifs... 

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12 octobre 2016 3 12 /10 /octobre /2016 09:24
Rassemblement le 4 novembre 2016 - convocation au Tribunal Correctionnel
Rassemblement le 4 novembre 2016 - convocation au Tribunal Correctionnel
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11 octobre 2016 2 11 /10 /octobre /2016 11:46

Article de presse sur le journal l'Aisne Nouvelle.

Saint-Quentin : le dossier Isobat n’en finit plus de défier l’irrationnel

Publié le 10/10/2016

Par G.B.

L’histoire de l’entreprise, qui avait défrayé la chronique il y a quelques mois, s’est poursuivie devant les juges du travail de manière surréaliste.

La société a été assignée par ses six salariés devant la justice, après que ces derniers se soient tous mis en arrêt maladie, entraînant, selon les dires de son directeur de l’époque, la liquidation judiciaire prononcée le 20 avril dernier.

Ce lundi, trois d’entre eux (sur les six dossiers inscrits au rôle), ont été plaidées. Les autres attendront le 16 janvier prochain. Un renvoi demandé par l’avocat même des plaignants, Me Romby, et ce alors que « les faits sont à peu près les mêmes », a-t-il jugé bon de préciser en préambule de sa plaidoirie. Les relations ne semblent d’ailleurs pas au beau fixe entre ce dernier et ses clients puisque l’un d’entre eux a manifesté en pleine audience à son avocat, et de manière virile, son mécontentement de voir son cas repoussé de nouveau. Une algarade qui a bien failli provoquer l’intervention de la sécurité…

Coup de théâtre après les plaidoiries

La suite sera tout aussi inattendue. Le conseil des plaignants demande « la résiliation judiciaire des contrats de travail, une demande faite avant la liquidation judiciaire », ainsi que le versement des compléments de salaire alors que les salariés sont en arrêt maladie. « Depuis 2013, Isobat Experts ne paye plus rien à ses salariés et garde l’argent, alors que l’entreprise Pro BTP lui verse des indemnités. »

La société Isobat Experts liquidée, c’est le CGEA (Centre de gestion et d’étude), qui gère notamment la mise à disposition des fonds nécessaires au règlement des créances salariales auprès des mandataires judiciaires, qui intervient. « Aucune pièce ne vient justifier le paiement de ces indemnités par Pro BTP », évoque Me Delvallez qui annonce également que « certaines des créances ne pourront être garanties ». C’était sans compter sur un énième coup de théâtre, venu des plaignantes elles-mêmes, qui, à la fin des plaidoiries, font part à des conseillers prud’homaux effarés, qu’elles ont reçu leurs lettres de licenciement en mai dernier. Et qu’une d’entre elle a même reçu un règlement de Pro BTP.

Le prononcé sera rendu le 16 janvier 2017.

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7 octobre 2016 5 07 /10 /octobre /2016 16:12
PRO-BTP, la maison des syndicats "maison"
PRO-BTP, la maison des syndicats "maison"
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7 octobre 2016 5 07 /10 /octobre /2016 12:43

Un article intéressant sur le paritarisme PRO BTP-ien. Voir la version complète plus bas.

PRO-BTP, LA MAISON DES SYNDICATS "MAISON"

Par Mickaël Ciccotelli

06/10/2016

Contrairement à d'autres groupes de protection sociale, Pro-BTP ne mise pas sur sa présence dans l'espace public pour assurer ses positions. Cette discrétion faite règle s'impose également en interne, notamment dans le domaine des relations entre la direction et les organisations syndicales. Le dialogue social y est même si peu bruyant qu'il en éveille certains soupçons...

Un syndicalisme compatissant

Comme l'ont sans doute remarqué les quelque 5200 salariés de Pro-BTP, depuis quelques semaines, l'activité syndicale est à son comble. Les élections professionnelles ont en effet lieu la semaine prochaine et les organisations salariales implantées de longue date dans le groupe : la CFDT, la CGT, FO et la CFE-CGC, tentent de se rappeler au bon souvenir des électeurs.

Leur tâche n'est pas évidente, tant elles semblent rencontrer bien des difficultés en vue d'améliorer la situation des salariés. Ainsi, après des NAO 2014 qui s'étaient traduites par une hausse des salaires de 0,5 %, les NAO 2015 et 2016 ont carrément conduit à des revalorisations nulles. Sous pression de l'AGIRC-ARRCO, la direction n'a pas dû sortir mécontente de ces négociations...

De leur côté, les représentants des salariés ont mollement protesté mais ne sont pas allés plus loin. Plus généralement, il faut croire qu'ils ne se caractérisent pas particulièrement par une attitude très offensive. C'est du moins ce dont témoigne ce cégétiste en rupture de ban : "On n'a pas vu beaucoup de syndicalistes de chez Pro-BTP dans les manifestations contre la loi Travail. On ne les voit jamais en manifestation, de toutes façons !"

D'après notre interlocuteur, l'absence de syndicalisme contestataire chez Pro-BTP vient d'ailleurs de conduire des salariés de Cagnes-sur-Mer à créer un syndicat affilié à Solidaires. Dans l'immédiat, ce mouvement d'humeur n'a, certes, pas remis en cause le syndicalisme d'accompagnement en vigueur chez Pro-BTP.

Un syndicalisme d'élus

L'attitude compréhensive des syndicats à l'égard de la direction n'est peut-être pas sans lien avec leur tendance à focaliser leur attention, avant toute chose, sur les diverses instances de représentation du personnel. Ce goût pour le mandatement a même pu mener les responsables syndicaux à quelques décisions plutôt singulières. Par exemple, au printemps 2015, ils ont décidé qu'il fallait reporter les élections professionnelles à octobre 2016. Le moyen le plus sûr de demeurer en poste ! Plus récemment, en février 2016, une élection partielle au CHSCT du siège social se serait déroulée en "huis clos", d'après les termes de notre interlocuteur. Aucune publicité n'aurait été faite de l'élection, les hiérarques syndicaux s'accordant pour laisser le poste à la CFDT.

La direction de Pro-BTP ne semble pas trouver grand chose à redire à ces petits tours de passe-passe syndicaux. Comment s'en étonner ? Petit à petit, installés dans leurs sièges d'élus, les pourtant "représentants du personnel" de la CFDT, de la CGT et de FO en viennent à adopter des pratiques que leur employeur ne renierait pas nécessairement.

Dernière affaire en date : en 2015, le CCE de Pro-BTP a fait parler de lui dans les couloirs des Prud'Hommes de Paris. Après avoir licencié un salarié "dans des conditions rocambolesques, sinon douteuses", comme l'affirme notre source cégétiste indépendante, le CCE a été reconnu coupable et condamné par le juge des affaires professionnelles. Un procès dont les salariés de Pro-BTP ont dû apprécier le coût...

"L'exemple" de la CGT

Dans cette configuration syndicale peu combative, la CGT n'a rien à envier aux autres organisations. Chez Pro-BTP, elle consiste en un "réseau national" d'environ 100 adhérents. Longtemps affilié uniquement à la fédération CGT de la construction, ce réseau est désormais lié à la fois à la fédération des organismes sociaux (CGT Pro-BTP), à celle de la santé (CGT Pro-BTP RMS) et à celle de la construction (CGT Pro-BTP Vacances). Une structure d'affiliation plutôt rare, qui peut permettre aux responsables du réseau national de faire plus librement leur petite tambouille dans leur coin.

Si la CGT construction ne considère pas "anormale" cette affiliation syndicale reflétant les activités professionnelles des salariés, elle n'en reconnaît pas moins des "divergences occasionnelles" entre les "orientations politiques du réseau CGT Pro-BTP et celles de la fédération".

Jusqu'à présent, la tendance contestataire était, certes, toujours représentée à la CGT Pro-BTP, par le biais du syndicat CGT Pro-BTP Regard, constitué hors du "réseau national". Portant un jugement très sévère sur les pratiques des dirigeants syndicaux du groupe, notamment ceux issus du réseau CGT, cette organisation est dans leur viseur depuis un certain temps. A la faveur de manoeuvres électorales de circonstances, le réseau CGT a réussi à évincer ce syndicat trouble-fête des prochaines élections professionnelles, lui portant un coup rude. Plus rien ne semble à présent devoir arrêter l'évolution du réseau CGT Pro-BTP vers un rose de plus en plus pâle.

Une telle évolution fera rapidement l'objet d'une investigation plus approfondie dans nos colonnes.

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3 octobre 2016 1 03 /10 /octobre /2016 12:01

Rappel, billet du blog daté du 21 mars 2016, avec mises à jour !

Rappel : la gestion opaque du CCE de PRO BTP lui a valu une condamnation devant les Prud'hommes de Paris.

Le CCE de PRO BTP est géré conjointement par les organisations syndicales, dont la CFDT et la CGT, qui en sont les organisations majoritaires. Il convient de souligner que, sur cette gestion opaque du CCE, la CFE-CGC a tiré la sonnette d'alarme à plusieurs reprises ; ce qui tranche radicalement avec le consensus mou habituel de FO, CFDT et CGT lors des multiples réunions.

A plusieurs reprises sur le blog de la CGT Regard ont été signalés les possibles abus de pouvoir des dirigeants syndicaux de PRO BTP.

Que ce soit nationalement, pour les reports contestables des élections professionnelles, ou localement (au Siège Social de PRO BTP) pour l'organisation de l'élection partielle "à huis clos" du CHSCT, le constat s'imposerait comme une évidence : les dirigeants syndicaux de PRO BTP et bon nombre d'élus du personnel auraient une lecture toute particulière de la démocratie.

Alors, imaginez si ces mêmes dirigeants syndicaux se retrouvent à leur tour à être des employeurs, il y aurait de quoi être inquiet et vous auriez raison de l'être. Témoin, cette toute récente condamnation du CCE de PRO BTP par le Conseil des Prud'hommes de Paris.

La CGT Regard a défendu un ancien salarié du CCE de PRO BTP, licencié dans des conditions rocambolesques, sinon douteuses !

Petite devinette, juste comme ça : combien a coûté la défense de l'ancien salarié du CCE de PRO BTP ? Réponse : zéro euro ! Et, juste pour comparer : combien ont coûté les frais d'honoraires d'avocat pour défendre le CCE de PRO BTP ?

Pour le CCE de PRO BTP, comme pour l'employeur PRO BTP, le constat effectué serait le même : le budget de PRO BTP et le budget du CCE de PRO BTP sembleraient illimités pour les contentieux devant les Tribunaux ou devant les Prud'hommes.... Par contre, pour augmenter les salaires, là on est désolé, c'est vraiment pas possible : "Y'a pu de budget ! Budget y'a pu !", c'est 0% à toutes les sauces ! Deux poids, deux mesures !

Les salariés de PRO BTP seront certainement ravis de voir où irait l'argent des œuvres sociales du CCE de PRO BTP... à payer un lourd contentieux aux Prud'hommes, alors que tout cet argent aurait pu être utilisé à bon escient pour les salariés ! C'est bien dommage !

A travers cette condamnation du CCE de PRO BTP, la CGT Regard s'engage plus que jamais à rester vigilante face aux possibles abus de pouvoir des dirigeants syndicaux de PRO BTP, tout en gardant à l'esprit que l'employeur PRO BTP ne serait pas non plus irréprochable ces derniers temps, dans sa lecture du Code du Travail. Sur ce dernier point, affaire à suivre !

Le CCE de PRO BTP condamné par les Prud'hommes de Paris !
Le CCE de PRO BTP condamné par les Prud'hommes de Paris !
Le CCE de PRO BTP condamné par les Prud'hommes de Paris !
Le CCE de PRO BTP condamné par les Prud'hommes de Paris !
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30 septembre 2016 5 30 /09 /septembre /2016 13:17

Curieuse stratégie adoptée par les dirigeants CGT de la PRO BTP, pour ces prochaines élections professionnelles d'octobre 2016. Un petit récapitulatif s'impose :

- on ne s'attardera pas sur le fait que la CGT de la PRO BTP ait signé aveuglement la fusion du CE des établissements de Vincennes (Nadar) et du Siège Social (Paris Regard). Cette fusion des 2 CE en un seul CE va contribuer à diminuer le nombre d'élus CE pour ces 2 établissements. Très étonnant que la CGT ait signé un protocole électoral favorisant la diminution du nombre d'élus CE.

Les syndicats qui ont signé ce regroupement des 2 CE sont : FO, CFE-CGC et CGT.

La CFDT, qui reste le syndicat majoritaire dans les 2 établissements, à Vincennes et au Siège Social, n'a pas signé ce protocole électoral d'établissement. La CFDT ne l'a pas signé, surement parce qu'elle va perdre des élus au CE, puisque ce regroupement des 2 CE favorise la diminution du nombre d'élus.

- au niveau des listes pour les élections professionnelles, la CGT adopte également une bien curieuse stratégie. En effet, pour les établissements de PRO BTP à Vincennes et au Siège Social, la CGT n'a présenté aucun candidat dans le 1er collège (collège employés).

La CGT a juste présenté un seul candidat dans le 3ème collège (collège cadres) pour le CE.

La CGT de PRO BTP serait donc devenue un syndicat catégoriel, en privilégiant le 3ème collège au détriment du 1er collège. Volonté de rivaliser avec la CFE-CGC ?

Une stratégie très risquée car, faut-il le rappeler, les électeurs de la CGT à PRO BTP se situent d'abord dans le 1er collège, le collège employés. Ce sont essentiellement les salariés en catégorie employés, en début de carrière avec un bas salaire, qui votent pour les listes CGT.

On rappellera par ailleurs que, il n'y a pas si longtemps encore, les employés à PRO BTP en début de carrière, étaient recrutés en étant payés au SMIC, avec BAC +2 en poche ! Il est dommage que les dirigeants CGT de PRO BTP l'aient oublié. Peut-être que les dirigeants CGT l'ont oublié, car eux-mêmes sont dotés depuis longtemps d'une rémunération bien plus confortable.

D'où un décalage saisissant entre les conditions de travail des dirigeants CGT de PRO BTP, et les conditions de travail des jeunes salariés, catégorie employés, en début de carrière. Une catégorie apparait comme favorisée, et pas l'autre.

Il est plus qu'urgent que la CGT de la PRO BTP privilégie des positions de luttes, en s'adressant prioritairement aux salariés catégorie employés, aux jeunes salariés en début de carrière et avec un bas salaire.

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