Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
5 août 2016 5 05 /08 /août /2016 09:37

Rappel de la Cour de Cassation, pour l'organisation des élections professionnelles !

Mais, rassurez vous, aucune chance que cela arrive à PRO BTP, puisque les candidat(e)s aux prochaines élections professionnelles seront tous parfaitement indépendants de la Direction Général ! Pas le genre de la maison !

Elections professionnelles - Les grandes familles
Elections professionnelles - Les grandes familles
Partager cet article
Repost0
4 août 2016 4 04 /08 /août /2016 09:25

A quand un CHSCT qui sert à quelque chose à PRO BTP ? C'est pas demain la veille !

CHSCT - L'expertise en cas de "risque grave"
Partager cet article
Repost0
3 août 2016 3 03 /08 /août /2016 11:03
Article Humanité Dimanche - 23 au 29 juin 2016

Article Humanité Dimanche - 23 au 29 juin 2016

Partager cet article
Repost0
2 août 2016 2 02 /08 /août /2016 15:26
Télétravail - Droit aux titres restaurants
Partager cet article
Repost0
1 août 2016 1 01 /08 /août /2016 09:43
Article Humanité Dimanche - 16 au 29 juin 2016

Article Humanité Dimanche - 16 au 29 juin 2016

Partager cet article
Repost0
29 juillet 2016 5 29 /07 /juillet /2016 15:11
Article de l'Humanité

Article de l'Humanité

Partager cet article
Repost0
29 juillet 2016 5 29 /07 /juillet /2016 09:28

La CGT n'est toujours pas expulsable

Toulouse : La CGT n'est toujours pas expulsable

La cour d'appel de Toulouse a tranché : l'union locale de la CGT ne sera pas expulsée des locaux de la place Parmentier. À ceux qui n'auraient pas suivi cet interminable feuilleton : le syndicat et la municipalité s'opposent depuis des mois au sujet de la présence de la CGT dans l'immeuble de la place Parmentier.

Un bâtiment mis gracieusement à disposition par la mairie qui l'a vendu à un particulier qui souhaite désormais le transformer en logements. Les alternatives de relogement proposées par la municipalité étaient alors retoquées par le syndicat.

Donc après cette médiation avortée et une demande par la mairie de jugement en référé (une sorte de procédure accélérée) qui donnait en partie raison au syndicat, la cour d'appel de Toulouse vient à nouveau de confirmer l'absence du caractère d'urgence s'agissant de la présumée occupation illicite du fameux bâtiment. «C'est une bonne nouvelle, lâche à demi-mot Maryse Gomez, la secrétaire de l'union locale fuxéenne. Mais j'aurais aimé que ça se passe autrement…» S'avouant dans l'expectative, le n°1 de l'union locale refuse de «fanfaronner». «La justice considère que le maintien dans les locaux est légitime, estime Me Dedieu, l'avocat du syndicat. Avec cette deuxième décision, la commune est à nouveau désavouée. On espère désormais qu'elle ne va pas se lancer dans une troisième procédure en repartant au fond devant le tribunal de grande instance. C'est une petite victoire mais la guerre continue.»

Contacté hier, Norbert Meler, le maire, indiquait «être encore dans l'attente de la décision officielle» avant de se prononcer.

G. J

Partager cet article
Repost0
28 juillet 2016 4 28 /07 /juillet /2016 12:05

Prolongation de l’état d’urgence et information : une dérive inquiétante

La France est placée sous le régime de l’état d’urgence pour la quatrième fois depuis le 26 novembre 2015 et cette prolongation est prévue pour une durée de 6 mois.

Pour la quatrième fois, donc, la France déroge à la Convention européenne des Droits de l’Homme en invoquant son article 15 (« En cas de guerre ou en cas d’un autre danger public menaçant la vie de la nation toute aute artie contractante peut prendre des mesures d rogeant au obligations pr ues par la pr sente on ention dans la stricte mesure o la situation l’e ige et la condition que ces mesures ne soient pas en contradiction avec les autres obligations découlant du droit international. »)

Quoi qu’en dise le président de la République et le Premier ministre, la France n’est pas en guerre et la vie de la nation n’est pas menacée. Mais, à dessein, le vocabulaire guerrier est ressassé pour justifier une grave atteinte aux libertés fondamentales.

Aujourd’hui, après 9 mois d’état d’urgence et avant une prolongation de 6 mois, on peut en mesurer les effets sur le traitement de l’information et le travail des journalistes.

Nul acte de censure n’a, certes, été à déplorer en France, mais les effets de l’état d’urgence et de la communication gouvernementale sont plus sophistiqués et donc, plus sournois à identifier.

En premier lieu, on remarquera que l’exécutif a profité du climat ambiant pour « raboter » le dispositif de protection des sources des journalistes lors de l’examen de la loi Bloche à l’Assemblée nationale. Les journalistes qui enquêtent sur l’islamisme radical et sur le terrorisme ne sont plus à l’abri de perquisitions administratives, même sous les prétextes les plus fallacieux.

Ensuite, la prolongation de l’état d’urgence s’accompagne de déclarations guerrières du Président de la République et du Premier ministre, reprises par de très nombreux élus, de gauche comme de droite. Cette posture vise à attiser les peurs, à plonger de façon durable la France dans un climat anxiogène, à maintenir le pays dans une ère du soupçon généralisé.

Aujourd’hui, alors que se déversent dans l’opinion les arguments les plus irrationnels, comment traiter sereinement de la lutte contre le terrorisme dans les médias ?

Quand le soupçon généralisé fait de tous les musulmans et, par extension, de tous les immigrés des terroristes en puissance, comment enquêter sur le mal-vivre des cités où résident beaucoup de ces citoyens de « seconde zone » ?

Cet état de peur que le pouvoir tente d’inoculer à toute la population française permet d'éviter de parler du chômage endémique, de la précarité, de la lutte contre le pouvoir sans frontières des multinationales. Les Français sont invités à brader leurs libertés contre la promesse illusoire d’une sécurité que le pouvoir est bien incapable de garantir, puisqu’il est prouvé que l’état d’urgence n’est pas et ne sera pas le remède au terrorisme.

Décidément, la liberté est en péril et les journalistes sont en première ligne pour subir les effets collatéraux de l’état d’urgence; mais, au bout du compte, ce sont les citoyens qui, plongés dans un climat délétère, seront privés des nécessaires paroles alternatives pour se forger une opinion par eux-mêmes.

La prolongation de l’état d’urgence instaure un climat propice au développement d’un état sécuritaire, sinon autoritaire. Les surenchères dans la perspective de l’élection présidentielle ne sont pas pour rassurer les démocrates.

L’heure est à la mobilisation de toutes les intelligences et de la raison pour combattre cette dérive d’un Etat, incapable d’assurer réellement la sécurité des Français.

Montreuil, le 26/07/2016

Syndicat national des journalistes CGT

Partager cet article
Repost0
27 juillet 2016 3 27 /07 /juillet /2016 11:12
Solidarité - Drame à Saint-Etienne-de-Rouvray
Partager cet article
Repost0
26 juillet 2016 2 26 /07 /juillet /2016 17:37
Article Humanité Dimanche - 26 mai au 1er juin 2016

Article Humanité Dimanche - 26 mai au 1er juin 2016

Partager cet article
Repost0